APPELEZ-LE DIEU.

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«soren lincoln»
" CREDITS GO TO - SEBSTANDAILY@TUMBLR "

Âge - vingt-quatre ans
Date et lieu de naissance - deux mars, à new york
Occupation - étudiant en droit
Statut - célibataire
Groupe - guests

○the rust and the rain are sins.

C'est un con, qui aime emmerder le monde et qui y prend son pied → Il ne s'entend pas avec sa mère, seulement quand il s'agit d'obtenir un gros chèque. Quand à son père, il ne le voit que très rarement, d'où sa complicité avec celui-ci. Ne le voyant que très peu, il n'a pas le temps de le trouver insupportable → Contrairement à cette apparence d'homme froid qu'il renvoi, Soren est quelqu'un de sensible → Aime le sexe, et ne le cache pas. Tu lui plaît ? Il te saute, rien de plus compliqué → Infatigable, il dort peu → C'est un homme qui s'en fout de l’apparence qu'il peut renvoyer. Il vit à sa façon, et préfère exclure de son jeu toute personne l'agaçant → S'attache davantage aux personnes qui le repoussent que de ceux qui se jettent à ses pieds → D'ailleurs, il n'aime pas avouer ses sentiments, et préfère passer pour un homme insensible, un vrai connard auprès des femmes → Adore la danse, et aller à des spectacles → Vit au Rizt, puisqu'il ne supportais pas de rester sous le même toit que sa mère → A toujours été un enfant gâté, pourri gâté. A présent, il veut se prouver qu'il est capable de se débrouiller seul. Pas pour faire plaisir à ses parents, mais pour lui-même → N'aime pas voir une femme se ronger les ongles → Adore se lever tôt, et se promener à central park → N'a jamais eu besoin de fournir une grande quantité de travail afin de réussir scolairement, il est d'ailleurs bientôt diplômé → Déterminé, il ne obtient toujours ce qu'il désire → Manipulateur, adore jouer → Est toujours très calme en cas de disputes, ce qui énerve les autres, mais qui l'amuse lui → N'aime pas planifier, jamais, préfère vivre l'instant présent → Ne pose pas de préjugés sur ceux qui l'entourent. Aime juste les taquiner sur les points faibles qu'ils dégagent → Parlez-lui de son grand-père, vous le ferez pleurer → Joue à la perfection du piano, c'est un moyen pour lui de se détendre → Ces temps-ci, seule Mini Haestings l'intéresse. Il la désire, elle l'envoûte → Passionnée par la série Dexter → N'aime pas le foie gras, ainsi que le caviar → Le matin, ce n'est pas la peine de lui parler tant qu'il n'a pas bu son café, toujours très fort → Capable de relever un seul de ses sourcils, c'est d'ailleurs l'une de ses plus grandes manies. Tout comme son pincement de lèvres → Ne quitte jamais son iphone → A peur des clowns → Supporte mal les enfants → N'adresse que peu de regards au personnel du Rizt, préfère les faire souffrir en étant un client insupportable → Croit en l'amour, il n'a simplement pas envie de laisser une femme prendre place dans son coeur → Fait parfois de petites crises d'asthmes.

○love will never ever be lost on me.

Pseudo / prénom - little.love / marine Âge - dix-sept ans Comment avez vous connu le forum ? - bazzart, comme toujours Cassdédis, commentaires - cassdédis à ma superbe créatrice, je l'aime déjà tout fort (a) Avatar - sebastian stan.

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•song of the mystery.

Je suis très fier d'avoir de l'estime d'un homme dont j'ai toujours entendu mon père dire le plus grand bien. Quand mon père me faisait l'honneur de sa présence, il était dans mon intérêt d'oublier cette personnalité de pauvre con que j'aimais renvoyer à tous. Étrangement, je devenais ce jeune poli qu'il avait toujours souhaité que je devienne. J'étais agréable envers le personnel de l'hôtel, et respectueux de ceux qui s'y trouvaient. Mon regard ne s'abaissait jamais face à une cul joliment formé, ou une paire de poitrine plus qu'attirante. Non, en sa présence, je me la fermais, et me contentais de m'enfoncer dans mon siège. Là, je faisais bouger les glaçons présents dans mon verre. J'attendais qu'il se décide à me parler, j'attendais qu'il se décide à m'expliquer la raison de sa présence. Mon père n'est pas un homme qui se déplace pour rien. Pour lui, le temps est source d'argent, soit, la moindre des secondes, le moindre de ses mouvements, est intelligent utilisé. Soren, je vais te demander de m'écouter. Je ne veux pas t'entendre parler, ta réaction ne m'intéresse pas annonça-t-il, mettant terme à cet insoutenable silence. Il se leva, et s'approcha d'une des nombreuses fenêtres de ma suite. Quel homme. Mon regard fixait le mur, je bouillonnais d'impatience à l'idée de savoir ce qu'il avait à me dire. Ton grand-père a décidé de te léguer toutes ses richesses. En oubliant par la même occasion, le reste des membres de sa famille. Certes, Soren, j'ai quelque chose à te demander. Ma respiration semblait arrêter, je ne comprenais pas. Mon grand-père était décédé depuis plus d'un an, je ne comprenais pas que je puisse avoir cette discutions avec mon aîné, maintenant. Par ailleurs, y penser, penser à cet homme qu'étais mon grand-père ne faisait que réveiller ces larmes que je conservais dans l'coin de mes lèvres. Saloperie de sentiments. Utilises intelligemment toute cette richesse. Ne te sers pas à ta guise, sans en comprendre la valeur. Sois digne de cet héritage, Soren. Pour nous, pour lui. Je fronçais les sourcils, tout en me redressant. Qu'est-ce que tu attends de moi, au juste ? demandai-je tout en reposant mon verre sur ma table basse. Pourquoi tu ne me demandes pas clairement si j'accepte de te donner cet héritage ? demandai-je. Je connaissais mon père, ainsi que ses envies. Je savais où il voulait en venir. Il n'agissait jamais sans en voir un intérêt pour ses affaires. Parce que tu le ferais ? me questionna-t-il, la tonalité de sa voix me faisant comprendre sa surprise. Je lisais déjà sa joie dans son regard, il pensait que c'était gagné. C'était bien la première fois que je pensais ainsi mais, quel imbécile. Non, évidemment, non répondis-je, le plus calmement possible, tout en esquissant un large sourire. Mais ne t'en fais pas, je saurais profiter de cette richesse avec les bonnes personnes. Je déposai mes mains contre mes cuisses avant de me lever. Il me dévisageait, et semblait réellement déçu. C'que je pouvais être fier. Pas de moi, mais de mon grand-père qui avait ce culot de tout me léguer. Pourquoi moi ? La réponse était simple, nous possédions cette même passion, énerver cet homme qu'étais mon parent. L'énerver avec finesse.

De la rencontre au sentiment, il n’y a qu’un petit pas à franchir. Vingt-trois heures, début de soirée pour moi, fin pour d'autres. Je m'approchais du bar, me posant sur l'un de ses hauts sièges. Pas la peine de passer une commande, je prenais toujours ce même verre de vodka pomme. Un habitué, voilà ce que j'étais, rien d'autre. Mon regard se perdait dans l'endroit, les lumières étaient tamisées, l'ambiance agréable. Une femme me captiva aussitôt, belle, simple, élégante. Elle venait d'attraper mon regard, je n'arrivais pas à m'en détacher. J'avais le goût de belles formes, des femmes qui se détachent du lot par leur présence, et cette force qu'elles dégagent. J'en avais la bouche légèrement entrouverte, les sourcils froncés. Savoir réveiller mes envies, ce n'était pas donné à tout le monde. A présent, tout était clair dans mon esprit. Ce soir, c'était elle, et rien d'autre. Ma folie du moment, il me la fallait. Je me relevai donc, mon verre en main, et m'approchait sans gêne d'elle, glissant ma main à sa taille. Ce simple contact me confirmait sur mes pensées, elle était ravissante. J'ancrai mon regard dans le sien, accompagnant mon geste par un bref sourire, qui se voulait plus que charmant. Pas question de passer pour un bref et vulgaire assoiffé de sexe - ce que j'étais, assoiffé, pas vulgaire. Je peux t'offrir un verre ? lui demandai-je, avec assurance. Elle ne semblait pas conquise par ma proposition, elle me repoussa même. Je ne voulais pas la forcer, je relâchai donc sa taille. Elle ne voulait pas de moi maintenant, tant pis. Je reviendrai, je ne lâcherai pas. Je glissai d'ailleurs ma main dans ses cheveux, m'assurant que son visage soit dégagé de toute mèches rebelles. J'étais parfois romantique, parfois un vrai salaud. J'avais décidé d'opter pour la première option, plus délicate. Mais si elle s’avérait être une femme difficile, je réveillerai ma facette de petit tueur, qui ne lâche pas sa cible. Puis, avec un peu de chance, elle était probablement une de ces habitués du Rizt, une de ses clientes que je n'avais toujours pas remarqué - il m'arrivait d'avoir de sérieux problèmes de vues.