BUZZ LIGHTYEAR

«pierre lafontaine»
" CREDITS GO TO - IMG / ICONS "

Âge - 24 ans
Date et lieu de naissance - 2 mars à Lyon
Occupation - amant
Statut - engagé
Groupe - residents

Cela faisait combien de temps que Pierre parcourait ses couloirs tapissés et luxueux ? Il ne savait plus très bien et à vrai dire il s'en fichait pas mal. Toutes ses conquêtes adoraient cet hôtel à New-York. A la base, cela le mettait mal à l'aise de revoir des têtes qu'il connaissait très bien. Et puis il s'était rendu compte qu'il n'était qu'une parure pour les femmes mûres New-Yorkaises et autres riches avides d'aventures. Il était le nouveau collier ou paire de chaussure à obtenir. Il se vendait, et malgré tout le mal qu'on pouvait dire du plus vieux métier du monde, ça rapportait gros. Pierre était le bijou français adorable et adulé. Après être passé après trois frères et deux sœurs, un peu d'attention lui faisait du bien. Même si elle était plutôt malsaine. Le Ritz Carlton était sa nouvelle maison depuis ses dix-huit ans. Oh, bien sur il était allé voir ailleurs, il avait fréquenté Hilton et le Taj Mahal, mais il était revenu à la maison. Pas en France, à New-York, à ce luxe impersonnel et les caresses de nouvelles femmes.

Pierre Lafontaine ? Le jeune français acquiesça sans bien savoir pourquoi cette jeune femme connaissait son nom. Mon nom est Annie, je suis la fille de Jane. Celle avec qui vous couchez depuis bientôt trois mois. Lorsqu'il observa mieux la brune, il s’aperçut en effet de la ressemblance entre les deux personnes. Elle semblait furieuse. En effet c'est moi. répondit sur le ton de la conversation Pierre son journal à la main, il avait l'habitude que des maris ou même des fils viennent le voir pour l'intimer de ne plus soutirer de l'argent à la femme en question. Mais une jeune fille c'était une première. Je suis venue vous dire que je payerai l'hôtel pour trois nuits, mais qu'en suite vous devrez partir. Le français un moment perplexe ne se détacha pas de son sourire. Et l'intima de continuer, il voulait savoir de quoi on allait le traiter. Cela l'amusait maintenant. Vous n'avez pas compris ? Ma mère est ruinée, mon père lui a coupé les vivres. Elle sourit d'un air entendu et continua Ça ne sert plus à rien de vivre à ses crochets maintenant.

Niel, sers moi un grand whisky, j'en ai besoin. Pierre s'était affalé contre le bar qui était devenu son meilleur ami, tout comme le barman qu'il venait d'interpeler. Niel lui lança un regard mi-amusé mi-compatissant et lui rempli un joli verre du nectar demandé. Pierre souriait enfin en enfournant le contenu dans sa bouche. Ben, qu'est-ce qu'il se passe ? Ta jolie maitresse a plus de botox que de dents ? Pierre rit, mais il savait qu'il pourrait peut-être en pleurer. Car le français collectionneur de femmes mûres était tombé amoureux. Non, je viens de m'appercevoir qu'elle a plus un sou sur son compte en banque. Expliqua-t-il d'un ton détaché, mais la vrai raison de son abattement était toute autre. La femme riche qui l'hébergeait lui avait fait rencontrer sa fille. Si jolie et fraiche. Pierre avait eu le coup de foudre, enfin, cette fille brune lui restait en tête depuis qu'elle l'avait vu. Le brun se réveilla lorsque son ami lui reposa un autre verre devant lui et lui dit : Dans ces cas là, j'te conseille Mary Triget, 57 ans, elle dirige une entreprise de cosmétique et semble en manque d'amour. Niel lui fit un clin d’œil, indiqua à Pierre la femme à l'autre bout du bar. Tandis qu'il réfléchissait à accoster ou non Mary, Niel partit s'occuper d'autres clients. Le français repensait sans cesse à la jolie fille de son actuelle maitresse qui semblait plutôt le detester mais qu'il ne pouvait pas s'enlever de la tête.

PIERRE CONNARD ! Tu pourrais répondre quand même. Pierre souffla en face de son écran d'ordinateur, sa plus proche soeur qui avait à peine un an de plus que lui, lui hurlait des injures par Skype. Pour une fois qu'il se préoccupait de sa famille restée en France il se faisait engueuler. Si c'est comme ça Clémence, je viendrais même plus aux nouvelles. Il vit sa sœur froncer les sourcils et gonfler ses joues. Pierre craignait le pire, c'était les signes avant coureurs d'une crise. La blonde tourna sa bague avant d'ajouter : T'es vraiment sérieux ? Ah, non il s'était trompé, sa soeur avait du faire des efforts depuis qu'il s'était cassé de la maison. Hier c'était mon anniversaire ! T'as oublié ça... Eh merde, le brun jura intérieurement puis se déconnecta. Il était lâche, mais oublier l'anniversaire d'une de ses deux sœurs c'était honteux. Il prit son manteau, ses clefs et puis s’élança dans New-York à la recherche du cadeau parfait. Le cadeau qui lui ferait oublier la bourde de son plus jeune frère.

Pierre Lafontaine a écrit:

HOOOOOOOOOOOOOULT, mygad J'accepte ton lien avec grand plaisir.

Vous avez tous des avatars à tomber par terre. Et ouais, je me disais Pierre, c'est sympa
J'accepte toute sorte de liens.

Fais donc attention à ce que tu dis tu sais pas l'hystérique que je suis